Grossis des milliers de fois, le samare double de l’érable et le papillon sont assemblés pour ne faire qu’un.
L’artiste aime utiliser des matériaux ayant subi la marque du temps, comme cet acier Corten. Cette corrosion superficielle lui donne toute sa résistance aux conditions atmosphériques.
Un beau contraste avec cette touche de vert tendre qui évoque les couleurs printanières, cette période de moults, mutations et transformations végétales et animales.
Sources: Photo: Lynda Morin
Un gros travail de soudure est nécessaire pour fixer cette enveloppe ailée et le papillon.
Pour la sphère d’acier, support de l’œuvre, il faut accélérer la corrosion du métal puis la stabiliser.