Cimetière Notre-Dame-du-St-Rosaire

Le cimetière Notre-Dame-du-Très-Saint-Rosaire


Le cimetière Notre-Dame-du-Très-Saint-Rosaire

En 1956, la paroisse Holy Rosary procède à l'achat d'un terrain appartenant à Raoul Chartrand pour y établir un cimetière.  Au mois de février 1957, l'archevêché de Joliette redéfinit les limites de la paroisse pour y inclure le nouveau cimetière et l'ensemble du territoire du Moorecrest.

Photo: Collection Société d'histoire de Mascouche / SODAM
Source: disponible sur demande au info@sodam.qc.ca


La première inhumation

La première personne à être inhumée dans le cimetière Notre-Dame-du-Très-Saint-Rosaire est Franck Connolly, le 11 février 1958.  Comme sa dépouille se trouve dans la fosse commune, aucune stèle funéraire n'est érigée en son nom. 

La première stèle du cimetière fut érigée le 25 février de la même année en la mémoire de John Henry Wood (1904 -1958).

Photo: Collection Société d'histoire de Mascouche / SODAM
Source: disponible sur demande au info@sodam.qc.ca


La stèle d'Albert Lisacek

Dans sa carrière, Albert «Kojak» Lisacek s'est retrouvé en travers du chemin du FLQ, de Richard Blass, de Jacques Mesrine, de Monica la mitraille et de Frank Cotroni. L'ancien policier de la Sûreté du Québec a déjà avoué qu'il n'aurait jamais cru atteindre ses 50 ans.

Six pieds deux pouces, le crâne rasé, la mitraillette à la main, Albert Lisacek en imposait. Des journalistes l'avaient même coiffé du titre de policier le plus dur au Canada !
Il été emporté par un cancer le 20 novembre 2012, à l'âge de 79 ans.

Photo: Collection Société d'histoire de Mascouche / SODAM
Source: disponible sur demande au info@sodam.qc.ca

La croix celtique

On aperçoit, gravé dans le haut de cette stèle, une croix ouvragée. Cette croix celtique ou nimbée est une croix dans laquelle s'inscrit un anneau. 

Selon une légende populaire, c’est Saint Patrick lui-même qui, arrivé dans l'Irlande païenne pour la convertir au christianisme, serait à l’origine de la conception et du style de la croix. Le cercle qui entoure le centre de la croix d’où partent les quatre branches, représenterait le dieu païen du soleil. Cette version raconte que durant la conversion qu’il avait entreprit, Saint Patrick utilisa certains symboles celtiques pour relier progressivement le paganisme au christianisme afin que la population puisse s’identifier dans cette nouvelle religion sans se braquer. Quelques siècles avant Jésus-Christ, de nombreuses civilisations adoraient des idoles composées de pierre, un peu à la manière de ces croix.  

Photo: Collection SODAM
Source: disponible sur demande au info@sodam.qc.ca

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Sur la trace des trépassés

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