Source: Photo en enregistrement: Noëmie Forget. Montage: Annie Desmeules.
Alors, Dialogue de politicien, moi, personnellement, je trouve que l’Assemblée nationale au Québec et au Canada, je trouve qu’il y a trop de personnes. Plus qu’on a de personnes, plus que c’est long avant qu’on décide de quelque chose.
On pourrait couper plus que de la moitié, les députés derrière banc qui ne parlent jamais, je trouve que ça nous coûte une fortune pour absolument rien. Ils ne parlent même pas ces gens-là.
Je trouve que deux ou trois personnes ça serait suffisant. Un membre du gouvernement, un opposition qui représente le peuple. C’est tout, ça fini là.
Ça coûterait moins cher et ça serait moins long de prendre des décisions. Les projets de lois ça prend en moyenne de 2 ans et demi à trois ans avant que ça soit décidés, c’est trop long.
Les champignons, c’est de la moisissure, je trouve qu’il y a des projets de lois qui prennent trop de temps et il y a des champignons qui collent après ça et les gens souffrent pendant ce temps-là. On a juste à penser à la crise du logement. Il y a des champignons qui collent après les projets de lois. Pis ça, ça fait pas mon affaire.
Sculpteur ayant consacré l’essentiel de sa carrière au travail du bois, il entretient un lien profond avec la nature, à laquelle ses œuvres rendent régulièrement hommage. Son processus de création privilégie l’harmonie avec l’environnement : plutôt que d’imposer ses sculptures à un lieu, il cherche à les y intégrer avec sensibilité et respect.
Comme il aime le rappeler, l’humain n’est qu’une infime partie de la nature. Cette vision guide son approche artistique, où chaque intervention vise à souligner la beauté discrète du monde vivant plutôt qu’à s’y opposer.